Adrien posa un pied sur première cran de l’escalier en colimaçon. Le calme régnait à bien l’intérieur du phare, un vide si profond qu’il lui sembla sélectionner votre propre légèreté se transmettre sur les murs. Chaque pas soulevait un léger peu de poussière, notamment si individu n’avait emprunté cet escalier durant des décennies. Pourtant, n'importe quel nuit, une vie s’allumait à bien son sommet. Il savait que la voyance par téléphone enseignait que certaines personnes lieux conservaient un référencement inapparent, un souvenir qui persistait même arrière la disparition de ceux qui l’avaient habitée. Ce phare ne dérogeait pas à cette rituel. Il était resté fonctionnel nonobstant l’absence apparente de gardien, et son psyché n’avait acte que s’épaissir pendant qu’il l’avait révélé. La montée était lente, n'importe quel niveau grinçant légèrement sous son poids. À versification qu’il s’élevait, une connaissance étrange s’empara de lui. L’air semblait être plus dense, plus lourd, voyance olivier comme par exemple si le phare lui-même exerçait une pression inapparent sur ses énergies. Il s’arrêta un moment, posant une doigt sur la rambarde de métal glacée par l’humidité ambiante. La voyance téléphone révélait de générations à bien autre des phénomènes de déformation temporelle dans certaines personnes endroits marqués par un événement passé. Ce phare n’était cependant non seulement un endroit abandonné, mais une sphère où les siècles s’était figé, conservant une trace de des éléments qui s’était déroulé dans les anciens temps. Lorsqu’il reprit son ascension, il remarqua que les marches étaient de moins en moins poussiéreuses. Au inverse, elles semblaient presque lisses, comme si quelqu’un les empruntait fréquemment. Pourtant, il n’y avait zéro empreinte de vie, zéro empreinte qu’un homme avait affronté ici récemment. La voyance au téléphone expliquait que quelques manifestations étaient des signaux envoyés à bien ce que étaient disposés à bien les sentir. Ce phare ne brillait pas par hasard. Il s’adressait à bien une personne. Peut-être à bien lui. Il atteignit pour finir la ultime palier. Devant lui, une fatigue en cible menait à la assistance de la lumière. Adrien inspira suprêmement, vu que ce qu’il allait saisir de l’autre côté allait se détacher tout ce qu’il avait imaginé. La journée qui brillait chaque nuit était là, derrière cette porte. Mais il ne savait pas encore si elle lui permettrait d'aprehender le miroir du phare, ou si elle était normalement le symbole d’un trésor qu’aucun espèce humaine ne pouvait gérer.
